Le temps des vacances de Pâques, Les Soirées de Paris vont marquer une pause ainsi que l’image ci-contre l’illustre des plus finement. À chacune de ces occasions de reprendre un peu notre souffle, j’en profite pour remercier non seulement ceux qui contribuent ou ont contribué à la perpétuation de ce lointain titre de presse mais aussi les lecteurs (dont nous aimons les réactions, voire les corrections) de plus en plus nombreux.
L’effet de traîne escompté au moment de la relance du mois de septembre 2010 fonctionne. La part de lecture d’articles anciens est de plus en plus importante par rapport aux plus récents. Contrairement à la presse papier, la vie d’un article ne s’arrête pas après chaque parution. Certains depuis près de 8 ans ont dépassé la barre des 10.000 lectures réelles.
Et en ces temps ferroviaires intermittents on voudra bien pour conclure se souvenir de ces vers d’Apollinaire: « Mais nous qui mourons de vivre loin l’un de l’autre/Tendons nos bras et sur ces rails roule un long train de marchandises » (« Le Musicien de Saint-Merry »), publiés il y a cent ans tout juste sauf erreur. Bonnes vacances à ceux qui partent. Prochain rendez-vous le 30 avril.
PHB
Ce sera long, 15 jours sans Les Soirées de Paris…
Bravo à Philippe d’animer ce site qui est ce que devraient être tous les sites : érudit, divers et jamais sectaire (enfin presque !) (et bien écrit avec des collaborateurs de très bon niveau, pour ne pas dire talentueux)
à bientôt, donc, et un grand merci